Wolverine by Daniel Way: The Complete Collection Vol. 2 (Wolverine: The Complete Collection) Paperback – 5 Sept. 2017

Bought for son received in good condition

Book had various artist all good, some very good. Some different stories and one bog story. Artwork was good and some very good. Color shading was very good, and it was very good color overall.

Enthousiasmé par le premier volume, je me suis précipité sur ce deuxième tome de l’intégrale des « Wolverine » par Daniel Way. Et je n’ai pas été déçu. Lorsque Way est aux commandes du destin de « Wolverine », notre mutant préféré vit des aventures pleines de rebondissements, de violence, de fureur, de trahisons et de destins tragiques. Des récits très bien construits, où chaque situation ou dialogue peut avoir sont importance.Dans les deux premierières histoires de ce volume: « Savior » et « Swift and terrible » Logan est confrontés aux fantomes issus de sont passé: amis et ennemis. Il tente de retrouver un synthétiseur de « carbonadium » un mystérieux métal qui une fois présent dans le corps ralentit considérablement le « Healing Factor » de tous les mutants qui en possèdent un. Il doit faire face à « Omega Red », « Cyber » et au « SHIELD », mais il peut aussi compter sur l’aide de « Maverick » ou de « Black Widow » avec qui il partage un passé commun.Plus particulièrement, dans le deuxième récit « Swift and Terrible » wolverine est confronté à sont fils, le mystérieux et impitoyable  « Daken » qui lui voue une haine viscérale. Steve Dillon est l’artiste chargé de mettre en images ces deux premières histoires. Son style que je qualifierai de « pseudo réaliste » et dont les points forts sont les visages ainsi que leurs expressions. Parfait lors de son run sur le « Punisher », ce graphisme me semble fonctionner moins bien sur Wolverine (les corps sont trop raides dans les scènes d’action) malgrès ces réserves, force est de constater qu’il fait le job, pour reprendre une expression à la mode.Dans le troisième récit Logan fait des cauchemars récurrents. Mais que veulent-ils dire ? Quel est le mystérieux personnage dont la présence menaçante se fait sentir dans les rêves de notre héros ? Wolverine veut aussi en finir avec Sabretooth, ce qui donne lieu à plusieurs combats à la sauvagerie inégalée. Au Wakanda, Black Panther à une théorie surprenante à soumettre à Logan sur l’évolution de l’homme, des mutants et des « lupine ». Pour finir, que veut dire Sabretooth par cette phrase: quod sum eris ? Du latin qui signifie « I am what you will be » ou je suis ce que tu seras en français.Le dessin de Simone Bianchi assistée d’Andrea silvestri, sur ce story arc, m’a fait forte impression. Il est sombre, organique et viscéral. On peut parler aussi d’un certain réalisme mais aussi d’ultra violence. Des caractéristiques qui en font, à mon sens, l’une des meilleures représentation artistique de la vision qu’a Daniel Way de Wolverine.Dans « Return to Madripoor » Way nous propose un récit qui se lit comme un polar noir: une histoire d’amour, une vampe, des meurtres, un policier qui rend des services, et de vieux ennemis. Le tout servi par un dessin sombre et extrême qui « accroche » vite le lecteur et sert bien le propo de Way dans cette ambiance noire.« Public enemy number one » est aussi une histoire noire mais là il est question de vengeance. Un « what If » court est sympathique au graphisme de « John Proctor » tout aussi sombre que le scénario de Way et Loeb.Pour finir je dirai que ce texte est peut être le plus long que j’ai jamais écrit pour un livre mais il y avait beaucoup à commenter et si je vous ai donné l’envie de vous intéresser à ce TPB, alors je n’aurais pas perdu mon temps.Il ne me reste qu’à vous souhaiter une bonne lecture...

Must Have für jeden Wolverine Fan. Daniel Way ist, neben Jason Aaron, der Beste seines Fachs wenn es um Wolverine geht!

Ordered this volume before I finished the 1st really enjoying the whole run.

Epic artwork. Nice storyline